Fédéral et Réseaux 
3 Février 2006

Conférence de Presse chez Ledoyen pour le lancement du Management Consulting MBA du groupe ESC Toulouse

Créé à l'initiative de Jean Claude Merlane par l'ESC Toulouse en collaboration avec Syntec Conseil en Management, le Management Consulting MBA qui s'ouvre dans la ville rose devrait accueillir au printemps 2006 une vingtaine de prétendants au titre. Coaching, Team Buiding et Change Management sont au programme de cette formation qui devient la 17ème de ce type en France. Avec un programme élitiste qui s'appuie sur les compétences High Tech toulousaines et la collaboration des Majors du conseil, ce MBA rejoint ceux déjà ouverts à l'Insead, HEC et l'ESCP. Il devrait en coûter 30000 Euros pour une formation de 3 jours par mois durant 18 mois

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De gauche à droite: Jean Pierre Bouchez (Cabinet Interface) , Michel Noiry (Directeur de SRM Business Consulting, Responsable de l'Etude annuelle de Syntec Conseil en Management), Dominique Genelot (Président d' Insep Consulting et Administrateur de Syntec conseil en Management), Hervé Passeron, Directeur général de l'ESC Toulouse et au premier plan Jean Claude Merlane (Fondateur et Président du groupe Merlane, Trésorier de Syntec Conseil en Management)


Depuis l’ouverture de l’IDCE en 1987 la France a vu se développer sur son sol près de 16 formations aux métiers du conseil (cf. notre rubrique
Ecoles) préparant chacune quelques dizaines de consultants par an, soit encore un total de l'ordre de quelques centaines de consultants diplômés chaque année. Pas plus pourrait-on dire... Aussi, le consultant diplômé fait figure de "denrée rare" en ces temps de reprise qui voient le conseil rencontrer des difficultés à recruter de vrais professionnels et à les garder. Pour un métier comptant environ 24 000 praticiens et embauchant chaque année près de  2 500 consultants (calculé approximativement sur la base d'un petit 5% de croissance annuelle et d'un Turn Over de 15% dont 1/4 correspondrait à des transferts, soit un total de ~ 10%), chiffre que l'on peut allègrement élever à 5000 voir 10 000 si l'on tient compte des embauches par les grandes sociétés d'audit ou de conseil informatique (Cf. notre rubrique Emplois sur un an), le décalage se révélerait énorme entre la demande potentielle du marché et l'offre de formation. Ainsi beaucoup de nouveaux consultants devraient aujourd'hui compter plus sur leur savoir acquis en entreprise ou dans un classique MBA que sur de solides bases reposant sur les Best Practices du métier de conseil. De même, les sociétés de conseil doivent encore pour beaucoup former elles-même en interne les consultants à ce métier très spécifique. Aussi, la création à Toulouse en collaboration avec Syntec Conseil en Management d'un MBA dédié spécifiquement à la formation des consultants passe plutôt pour une très bonne nouvelle.


Un lancement chez Ledoyen
Le 3 Février 2006 était donc la date retenue pour le lancement officiel "parisien" du Management Consulting MBA de l'ESC de Toulouse. Pour se faire s'étaient rassemblés au pavillon Ledoyen plusieurs partenaires du projet et une quarantaine d'invités du monde du conseil (Boston Consulting Group, DeVenir SA, Groupe Merlane...) et de la Presse. A la tribune, Jean Pierre Bouchez (Cabinet Interface, co-auteur de l'ouvrage Le conseil, le livre du consultant et du client), Michel Noiry (Directeur de SRM Business Consulting et Responsable de l'Etude annuelle de Syntec Conseil en Management), Dominique Genelot (Président d'Insep Consulting et Administrateur de Syntec Conseil en Management), Hervé Passeron, Directeur général de l'ESC Toulouse ainsi que Jean Claude Merlane (Fondateur et Président du groupe Merlane, Trésorier de Syntec Conseil en Management) devaient une matinée durant présenter ce projet ambitieux et répondre aux questions de la salle. Après une introduction au sujet par Jean Claude Merlane et les divers participants, Michel Noiry saisissait cette occasion pour éclairer le débat en proposant l'analyse de certains chiffres issus des études de Syntec Conseil en Management dont il a la charge. Cette présentation chiffrée permettait en troisième partie de montrer comment le MBA allait tenter de répondre aux besoins du moment. La matinée se terminait ainsi sur une présentation détaillée du programme.


A nouveaux consultants, nouveaux enseignements
Selon Hervé Passeron, Directeur général du groupe ESC Toulouse, l’Ecole Supérieure de Commerce de Toulouse serait après des écoles telles que l’Insead ou encore HEC, la 4ème institution française à bénéficier de 3 accréditations internationales. L’institution toulousaine propose en effet 3 filières: IEGC, ESC et des 3èmes cycles, ce qui lui permet de recevoir chaque année 5400 demandes et d’adresser ainsi 75% de son marché. S’agissant de l’ESC et pour ce qui concerne la formation des cadres il y aurait 3 programmes dont le CPA pour la formation des dirigeants et les divers MBA dont un, "Ville rose" oblige, qui serait spécifiquement consacré à l’aéronautique et au spatial. ESC Toulouse réaliserait ainsi quelques 30 Millions d’Euros de CA chaque année, enseignerait à 3000 étudiants, recevrait 1500 stagiaires, aurait 67 professeurs permanents dont les ¾ détenteurs d’un Doctorat et ferait appel à 500 intervenant professionnels extérieurs. C’est avec cette institution et sous l’impulsion de Jean Claude Merlane qu’a donc été décidé la création du Management Consulting MBA soutenu par Syntec Conseil en Management. Jean Claude Merlane s’en explique : «on a décidé après un travail d’enquête sur les besoins du métier». Dominique Genelot qui aime à rappeler que Syntec Conseil en Management représente plus de 50% de la profession du conseil en management en France se fait alors le rapporteur des caractéristiques spécifiques du métier de consultant: «dans le business plan on se pose toujours la question des compétences, que ce soit chez le client ou chez le consultant. Et le client se pose toujours la question de la qualité du consultant. Si la qualité du consultant est au rendez-vous, au bout du compte rien n’est jamais trop cher. Or la compétence n’est pas un acquis de jeunesse mais quelque chose de biodégradable, qui se dissout avec le temps et qui est très contextué. Notre métier c’est de créer de la connaissance avec le client. Il ne s’agit donc pas d’un contenu transférable. Ce n’est pas un objet mais une construction commune». De là une spécificité de savoir-faire qui n’existerait dans aucun autre métier, sauf peut-être selon Jean Pierre Bouchez, du cabinet Interface, dans le milieu des chercheurs et des journalistes, spécificité qui n’est pas acquise à la naissance et qui évolue et doit de fait faire l’objet d’une formation spécifique comme d’un ressourcement permanent. Deux aspects de la gestion du savoir domineraient : un lié à l’environnement de travail, appelé parfois "organisation apprenante", lequel s’appuierait autant sur les technologies de l’information que sur l’ouverture aux autres et vers l’extérieur, un autre aspec étant plus centré sur le management des consultants, lequel devrait s’appuyer sur des experts reconnus autant que sur les "Managers de proximité".  Au delà de la manière inhabituelle de coproduire avec le client et de gérer les savoir  il y aurait la façon dont s’organise la société de conseil, les consultants entre eux, afin de répondre à des impératifs de synergie, de prise de décision comme de gestion des carrières. Et là, comme le rappelle Jean Pierre Bouchez il existerait:
«de grandes barrières contextuelles entre les petits cabinets "identitaires" et les grandes multinationales: taille, Business model...». Le conseil ne reposerait donc pas sur un modèle unique mais un effet de seuil apparaît vers 80 - 100 personnes, seuil à partir duquel il y aurait nécessité d’organiser et de mettre en place un début de formalisation. Ainsi plusieurs modèles d’organisation dont deux principaux sont aisément observables et doivent être bien maîtrisés par les consultants. Jean Pierre Bouchez: «d’abord le modèle anglo-saxon original qui a plus d’un siècle, largement développé par Martin Bower de McKinsey lequel était fasciné par les modèles de gestion : Partnership, Up or Out, collaboration avec des universités prestigieuses... cela reste un modèle dominant qui marque la profession. D’autre part une pratique professionnelle plus française. Là on assiste à une progressive professionnalisation des pratiques depuis 5-6 ans sans pour autant entrer dans l’Up or Out anglo-saxon». selon Jean Pierre Bouchez on assiste aujourd’hui à la montée en puissance des « travailleurs du savoir dont les consultants sont le modèle prototype». Et là, il est clair que formation et ressourcement méritent un environnement tout particulièrement dédié.

Ces caractéristiques socioprofessionnelles étant posées, les participants étaient invités par Michel Noiry à observer les tendances chiffrées pour le secteur et notamment les paramètres les plus liés aux besoins de la formation.


ESCT
Michel Noiry (Directeur de SRM Business Consulting et Responsable de l'Etude annuelle de Syntec Conseil en Management) devait présenter certains chiffres du secteur Conseil de nature à éclairer la formation au conseil: niveau de rémunérations, répartition Hommes/Femmes, Turn Over... 


24 000 Consultants
Selon Michel Noiry, et sur la base de l'étude annuelle de Syntec ainsi qu’une étude rémunération plus "privative" aux participants de l’enquête, les Consultants en Management seraient en France de l'ordre de 24000, soit une augmentation annuelle de +2,7%. Il s'agit là bien sûr des chiffres 2004, l'Etude annuelle 2005 ne devant pas apparaître avant fin avril - début mai 2006. Selon Michel Noiry toujours cette augmentation du nombre de consultants serait faible mais comme il le précise:
«en 2004 on était encore un peu dans la crise. En 2005 on devrait voir les choses différemment».  A noter que pour expliquer la faible croissance temporaire il pourrait être invoqué le fait que les cabinets utilisent de plus en plus les services de Freelance et ce, à hauteur de 6%, la situation variant selon la taille des cabinets, les "Moyens - Grands" et les Majors ayant tendance à sous-traiter un peu plus.  Les taux journaliers se seraient d'autre part stabilisés à une valeur sensiblement supérieure à 1300 Euros par jour, chiffre qui se réduit passablement pour les cabinets les plus petits, bien que cette logique ne soit pas forcément respectée dans certaines spécialités de Niche,  la présence d’experts augmentant les tarifs. Pour ce qui est des rémunérations 2003 - 2004 les Juniors verraient leur salaire annuel légèrement réduit à 35  000 Euros, ce chiffre variant de 20 000 Euros pour les petits cabinets à plus de 35 000 Euros pour les Majors. Le taux d'occupation des consultants serait de 71%  en moyenne, variant de 74% pour les Majors à seulement 57% pour les petites structures qui restent en nombre les plus importantes puisque 82% des sociétés de conseil auraient moins de 100 personnes. Point important à une époque de "parité", la répartition Hommes/Femmes dans les sociétés de conseil serait de 77% d’hommes pour 23% de femmes, la proportion de femmes se réduisant dans les sociétés les plus grandes (bien que certains groupes anglo-saxons puissent se démarquer sur ce point) ainsi qu’en fonction d’un niveau hiérarchique croissant.  On observerait ainsi en fonction du niveau hiérarchique les chiffres suivants pour les hommes :

- Board of Directors :   89%
- Expert :                   92%
- Manager Senior :      77%
- Manager :                73%
- Consultants Senior : 66%
- Consultant :             65%

...enfin point très important le Turn Over annuel des RH serait de 14,8%.

Si le conseil reste donc attractif pour les jeunes talents en possession d’un MBA, les sociétés de conseil ne fidéliseraient toutefois plus aussi facilement leurs troupes que par le passé et les carrières dans le conseil seraient moins fréquentes qu’avant. Pour preuve la répartition du Turn Over en fonction du niveau hiérarchique :

- Senior Patrner :            4%
- Partner :                    5,8%
- Manager Senior :        8,7%
- Manager :                 11,3%
- Consultant Senior :     18%
- Consultant junior :       14%

à noter que c’est au niveau des consultants seniors, soit encore ceux qui ont une certaine expérience, que le Turn Over serait le plus important. Donc lorsqu’il sont bien entraînés ils s’en vont... assez souvent chez un client, car petite surprise: seul 22% des consultants démissionnaires iraient vers une autre société de conseil. Ainsi il y aurait selon l’expression de Michel Noiry: «sortie du métier», même si les allers et retours sont fréquents.  Parmis ces partants 18% seraient à la recherche d’un meilleur Package, 14% d’un meilleur équilibre de vie et seulement 6% chercheraient à partir à l’international: le consultant des sociétés de conseil français serait
donc plutôt casanier.

Aussi en fonction de tous ces chiffres Michel Noiry résume la situation comme suivant : «il n’y a pas trop de difficultés à recruter des jeunes, le métier reste attractif», par contre selon lui: «le Turn Over est un problème». D’un point de vue sociologique Jean Pierre Bouchez donne quelques explications et fait observer que le modèle pyramidal est aujourd’hui bousculé: «on a affaire à des travailleurs du savoir pour lesquels l’ambiance est plus importante que tout». Ainsi "avant" on serait venu pour le Fun intellectuel mais tout cela a été modifié par divers facteurs difficiles à évaluer pour ce métier de conseil qui est par définition très impliquant. L’effet des 35 Heures aurait eu des conséquences fâcheuses ! Ainsi il est observé par un des participants que : «les 35 heures ont tué les réunions.», et d’expliquer que pour palier à cela dans son entreprise chaque troisième vendredi du mois les consultants ne sont plus en clientèle mais en réunion et qu’une Université d’été a par ailleurs été mise en place pour traiter des questions de fond.  A une question de la salle sur le fait que le conseil devient en ce moment moins attractif, Dominique Genelot apporte l’éclairage suivant: «d’une par les rémunérations ne sont plus aussi attractives, les clients étant de plus en plus exigeants et la pression sur les prix plus forte. Deuxièmement la variété et l’attractivité sont devenues de plus en plus concurrentielles. Et troisièmement il y a la pénibilité. C’est un métier où l’on travaille énormément». Ce à quoi Jean Claude Merlane ajoute: «les gens ne veulent plus se sacrifier pour le boulot, ils cherchent un équilibre. Nous sommes peut-être des cordonniers mal chaussés». De nombreux témoignages de la salle vont dans ce sens. Jean Marc Thirion, fondateur du cabinet DeVenir SA fait observer par ailleurs l’émergence de désirs nouveaux comme d’organisations nouvelles: «les gens veulent s’exprimer aujourd’hui et de manière individuelle. Il existe les Freelance, les réseaux,  le portage qui apporte un accompagnement». Il fait observer sur la base d’une étude réalisée par une société d’intérim que 50% des interrogés veulent s’exprimer en indépendants, «ce qui ne veut pas dire que l’on ne revienne pas après dans une grosse société».    


Un MBA qui s’inscrit dans la réalité conjoncturelle
On le voit, le marché du conseil évolue ainsi que les aspirations des consultants. Après la présentation des chiffres Jean Claude Merlane rappelait que le MBA de Toulouse s’inscrivait dans ces évolutions et s’attachait à répondre aux besoins nouveaux comme aux aspirations nouvelles. Jean Claude Merlane: «les années glorieuses sont passées. Mais la sortie de crise relance le recrutement. 2006 pourrait être encore meilleur», et  Michel Noiry de confirmer: «on serait pour 2005 au delà de 10% de croissance pour les Majors». Pour Jean Claude Merlane on devrait donc assister à des recrutements en masse: «Donc reprise en 2006 et effet Papy-Boom pour 2006-2007». De là, un certain nombre de contraintes pour la profession que Jean Claude Merlane résume comme suivant: «formation... aujourd’hui 70% des offres s’adressent à des débutants. Pour les plus seniors qui couvrent les divers secteurs d’expertise, les former au conseil...et reste à maîtriser les exigences des clients». Aussi Jean Claude Merlane définit 3 objectifs pour ce MBA qui devrait s'adresser à des cadres ayant déjà une certaine expérience: «l’expertise, la connaissance du secteur conseil et la formation aux spécialités des métiers du conseil», et il se fait insistant sur ce dernier point rappelant au passage le titre du dernier Minzberg, "Des Managers, pas des MBA", car en effet les clients souhaitent aujourd’hui éviter le "syndrome du junior" qui n’a de connaissance que théorique. Ainsi la population cible du MBA serait principalement les 35/45 ans déjà en poste dans l’entreprise.

Cette population se répartirai plus précisément comme suivant :

- Cadres confirmés de 35 / 45 ans
- Cadres de 45 ans en reconversion (en cabinet, en conseil interne, en création
  de cabinet)
- Consultants Seniors (ceux qui quittent les sociétés de conseil)
- Indépendants voulant se professionnaliser



Le Mangement Consulting MBA de Toulouse
A partir de là Jean Claude Merlane présente les détails du programme du Management Consulting MBA de Toulouse qui seraient comme suivant :


Objectifs généraux :

- Savoir faire opérationnel professionnel
- Bonne connaissance du secteur
- Développement d’attitudes adaptées à la « relation conseil »
  (spécificité du management du client)
- Aspect entrepreneurial
- Coloration internationale (10%)


Organisation du dispositif :

- 520 Heures
- 18 mois
- 3 jours / mois
- 20 personnes
- 30 000 Euros HT (réduit pour les indépendants)
- Sélection mi mars - avril 2006
- Lancement mai - juin - juillet 2006
- Lieu principal Toulouse + séjours en cabinets


Contenus

- Team Building
- Projet personnel
- Coaching individuel
- Fil rouge : développement de compétences génériques
  (Com’, parole en public, raports, gestion de projets,
  contrôle budgétaire, relations services achats...)


6 modèles fondementaux

- Macroéconomie / géopolitique
- Stratégie
- Marketing / commercial
- Finance / contrôle
- RH
- Management opérationnel et SI


3 temps

- Approche globale des thèmes (académique)
- Approfondissement (opérationnel)
- Application aux secteurs (focus sur le secteur conseil)


8 Process Workshops

- Management éthique
- Responsabilité sociale
- Développement Durable
- KM et compétences stratégiques
- Management de projet international
- BPO
- Fusion acquisition / alliances / rachats
- BPR et Management du changement
- Transformation  (aspects culturels et transferts)
- Management d’une Business Unit


8 Electifs sectoriels

- Banque - Assurances
- Public
- Industries
- Energie
- Hight Tech / Télécom / SSII
- Transports / Logistique
- Santé / Pharma
- Distribution / Commerce International


2 Electifs métiers

- Consultant interne
- Consultant indépendant


Langues

- 15 à 20% des cours seraient assurés en anglais


En conclusion de cette présentation détaillée Jean Claude Merlane stigmatise le fait que: «cette formation pourrait être accessible aux salariés en période de professionnalisation sur financement du FAFIEC» et Dominique Genelot rappelle l’existence d’un Label professionnel propre à Syntec Conseil en Management pour lequel il apport la précision suivante: «pour ce Label de compétences agréé par l’AFAQ, des dispositifs comme le Management Consulting MBA de Toulouse doivent pouvoir contribuer en tant qu’élément de compétence». Et Hervé Passeron, Directeur Général du groupe ESC Toulouse de conclure: «je crois à ce projet qui ne se fera que s’il retient l’intérêt des sociétés de conseil». On le voit, les prochains mois seront certainement déterminants pour permettre la monté en puissance de cette formation nouvelle mais gageons que les Toulousains sauront démontrer qu’il savent décoller. Et pour la profession dans son ensemble l'arrivée au sein de l'Ecole Supérieure de Commerce de Toulouse d’un MBA formant aux métiers du conseil est une très bonne nouvelle.

Bertrand Villeret
Rédacteur en chef, ConsultingNewsLine


Pour Info :

Management Consulting MBA :
Sophie Weissberg
email:  s.weissberg@esc-toulouse.fr

Ecole Supérieure de Commerce de Toulouse :
www.esc-toulouse.fr
email: capitolis@esc-toulouse.fr


Site de Syntec Conseil en Management:
www.syntec-management.com/index.htm


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